LE BAL DE MINUIT ~ sujet commun

MESSAGES · Maître du Jeu suprême

Chapitre 1 : le Festival des Lumières

Sujet commun - Le bal de minuit

« Mes chers nobles, ce n'est pas parce que vous vous êtes blottis à l'intérieur du palais, entourés par des dizaines de gardes, que vous êtes en sécurité ce soir... »

★ Synopsis ★

☆ Le Festival des Lumières bat son plein depuis plusieurs heures. La nuit est tombée sur Corona et tous les nobles du royaume se sont retrouvés dans la salle de bal du palais pour célébrer comme il se doit l'anniversaire de la reine Raiponce.
Pourtant, cette soirée a un goût amer : la disparition de la princesse Eleanora est dans toutes les mémoires et certains pensent qu'il était indécent de maintenir les festivités en ces temps de crise. Et tandis que l'on danse et que l'on se sert en délicieuses pâtisseries, amenées sur des plateaux d'argent par les domestiques du palais, les langues se délient : chacun échange ses théories sur les récents évènements qui ont secoué Corona. Le coupable idéal est le peuple : beaucoup sont persuadés que les habitants du royaume sont au bord de la révolte et qu'il est grand temps de les remettre à leur place.

Mais, alors qu'ils se croient en sécurité à l'abri dans le palais, loin des débordements du peuple, les prestigieux invités du bal ne savent pas encore que leur ennemi est déjà à l'intérieur de ces murs...

Sont invités à participer à ce sujet : les nobles, les gardes et les domestiques du palais. Les habitants n'ayant aucun titre de noblesse ne seront pas autorisés à pénétrer dans l'enceinte du château.

Il n'y a pas de tour de post dans ce sujet : vous postez quand vous le souhaitez, en prenant tout de même soin de laisser à vos partenaires le temps de répondre. A l'inverse, essayez de poster le plus régulièrement possible afin que le sujet ne soit pas bloqué.

Bon jeu à tous et à toutes Coeur

Invité

FESTIVAL DES LUMIÈRES

Tenue ★ Les robes virevoltaient au rythme de la musique que l'on percevait à travers les voix des convives. Le Festival des Lumières était un véritable succès, comme chaque année, même si nombreuses étaient les personnes qui trouvaient ses festivités indécentes sans la présence de la princesse. Après tout, celle-ci venait à peine de disparaître... Tu étais de ces personnes qui se demandaient si c'était réellement une bonne idée que de s'amuser en ces temps troublés. Debout à l'écart de la foule, tu observais ces hommes et ces femmes en train de se divertir et de s'amuser, comme s'ils essayaient de fuir la réalité. Bien que tu t'étais fais belle pour le bal, portant fièrement le Blanc et Or de ta famille, ton sourire était absent.

Perdue dans tes pensées, tu ne parvenais pas à oublier cette nuit sanglante qui avait chamboulé vos vies. La paix si fragile maintenue par la reine Raiponce n'était plus. Chaque bal organisé te rappelait cet évènement. Tu avais du mal à l'oublier, à effacer de ta mémoire ce moment de ta vie. Habituellement, tu allais danser avec d'autres jeunes femmes de ton âge, ce qui te permettait de te changer les idées, mais là... Avec la disparition de la princesse, tout était confus dans ton esprit. Un soupire s'échappa de tes fines lèvres alors que tu attrapas une coupe qu'un domestique te proposa. Boire un peu soulagerait peut-être ton esprit en ébullition. Portant le verre à tes lèvres, tu goûtas à ce doux liquide qui t'était familier. Puis, tes yeux se portèrent à nouveau sur cette noblesse qui envahissait la salle, comme si tu cherchais une personne en particulier. En vérité, tu désirais simplement trouver quelqu'un que tu connaissais. Peut-être l'un de tes frères auquel tu pourrais tenir compagnie ou tout simplement un partenaire pour danser. C'était le mieux à faire : profiter de la soirée et oublier ces pensées négatives.

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Festivals des Lumières

le bal de minuit

Adossée à l'un des piliers soutenant la spectaculaire voûte, à laquelle avaient été pendues de longues ribambelles de tissus colorés, tu sirotais un énième verre de vin. Le liquide liquoreux coulant dans ta gorge, embrumant ton esprit, te faisait péniblement oublier l'absence de ta cousine à cet événement qui aurait dû être un hymne à sa gloire nouvelle, Eleonora tout juste couronnée reine du royaume de Corona. Malheureusement, tu savais qu'elle ne réapparaîtrait pas en cette soirée, et tu n'avais réussi à choisir ton camp lorsque les nobles, à la fois inquiets et curieux, étaient venu te demander ton avis sur le maintien de cette fête. Soupirant sans gêne, tu sentis une main se poser sur ton épaule, une poigne reconnaissable entre mille pour être celle de ton époux; et tandis que tu dardais sur lui un regard azur où une étincelle d'espièglerie s'allumait, il te prit de vitesse lorsqu'il vint déposer une baiser sur ton front avant de t'offrir un sourire des plus enjôleur et de reprendre de sa voix aux sonorités suaves. “ Tu devrais t'amuser, te libérer l'esprit; c'est l'occasion idéale pour ça et, attention, le sort prendra fin au douzième coup de minuit ! ” Tu tentas vainement de lui asséner un coup sur l'épaule, ce qui eut le mérite de le faire rire tandis qu'il retournait se glisser dans les méandres des convives.

Motivée par les paroles de ton aimable rouquin, tu te redressais et partais en quête de quelque chose à faire, d'un cavalier à alpaguer ou d'une demoiselle en détresse, perdue elle aussi, dans la foule des invités circulant et gesticulant de la piste de danse au buffet. Tu attrapais au passage d'un valet une pâtisserie aux effluves sucrées que tu croquais à peine, tes prunelles céruléennes appréciant une silhouette te semblant familière... Te rapprochant de la jeune femme, tu observais ses longs cheveux aux couleurs des corbeaux semblables aux tiens, son teint d'albâtre et ses pupilles d'ébène, ainsi que son regard parcourant la foule. “ La salle est comble ce soir, et je pense que tous attendent le moment de lâcher les lanternes; j’espère que vous y prendrez part Mademoiselle ? ” Tu l'avais reconnu comme la fille cadette de la famille Weiss, et tu espérais qu'elle ne soit pas perdu dans ce flot de mondanités.

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★ Intervention du Destin ★

Tandis que les nobles virevoltaient sur la piste de danse et que les domestiques continuaient de s'affairer en cuisine, un coup de vent traversa brusquement la salle de bal, éteignant d'un seule geste toutes les bougies qui éclairaient la pièce. En quelques secondes, le palais se retrouva soudain figé dans l'obscurité.
Quelques nobles poussèrent des cris alarmés et des bruits de pas précipités retentirent dans la salle : certains tentaient de quitter la salle, d'autres, de se repérer au milieu de la pénombre tout simple. Même si la perte de lumière semblait être le seul incident de la soirée, une drôle d'impression avait saisi les invités, comme si quelqu'un, tapi dans l'ombre, les observait...

Invité

Bal de Minuit

Cressida participait au Bal de Minuit, un peu par obligation, un peu pour se tenir au courant de ce qui se tramait dans le château. Elle restait à l'écart, considérant, comme d'autres, qu'il n'était pas très décents de leur part de faire la fête alors que la Princesse avait disparu. Non pas que la jeune femme pensât beaucoup de bien de sa future souveraine, mais tout de même, ils étaient sans nouvelle et la monarchie était fragilisée. Le regard de Cressida était d'ailleurs passé sur la silhouette de la cousine de la Princesse, Ymir, mais elle n'aurait pas su quoi lui dire alors elle était restée dans son coin. Obéissant aux doléances familiales, elle avait passé une robe d'un beige tirant vers le doré et laissé le soin à sa femme de chambre de coiffer ses longs cheveux bruns. Elle se doutait que malgré les récents événements, ses parents n'abandonnaient pas l'idée de la fiancer de nouveau très vite, et ils ne misaient pas uniquement sur leur fortune pour trouver de bons partis, ils tâchaient aussi de mettre en avant la beauté de leur fille unique. Fidèle à elle-même, elle les laissait faire. Aucun poète n'était encore parvenu jusqu'à elle ce soir, c'était plutôt bon signe.

Elle prit même la peine de danser... jusqu'à ce que les lumières s'éteignent. Cressida ne céda pas à la panique, elle resta froidement stoïque mais chercha à rejoindre dans la pénombre la dureté réconfortante d'un mur contre lequel s'adosser. Elle sentit une présence près d'elle, celle d'Oz qu'elle ne voyait pas à l'obscurité. "Pardon..." Murmura-t-elle alors qu'elle bousculait la jeune fille, elle n'avait pour sa part rien bu, elle se méfiait de ce qu'on pourrait mettre dans son verre. Avec ce qui se passait dans le Royaume (la disparition de la Princesse principalement), Cressida pensait qu'il valait mieux être plus prudent que jamais. Le peuple ne pouvait pas être content de la tournure que prenait les événements, pas seulement dix ans après la Purge, pas alors que tant d'espoirs étaient portés (à tord d'après elle mais c'était encore un autre problème) par l'approche du couronnement. Ils n'étaient plus à l'époque bénie de la Reine Raiponce, il fallait se rendre à l'évidence... Et Cressida s'attendait à tout moment qu'un danger ne sorte de cette obscurité, exactement comme il y a dix ans : le noir puis la mort...

Une bouffée d'anxiété bien vite contenue l'étreignit, elle se retrouva enfin près du mur et reprit par bouffée des inspirations, s’exhortant au calme. Elle n'avait plus quinze ans, si les choses tournaient mal, peut-être qu'elle pourrait agir... C'est avec cette pensée qu'elle se rassura, restant de marbre face au danger mais se demandant où étaient les autres personnes qu'elle connaissait maintenant...

{Robe de Cressida : https://i.pinimg.com/236x/e8/4f/48/e84f4872b04a3d7630a0e3e6a9d37e63--the-tudors-natalie-dormer.jpg }

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Festivals des Lumières

le bal de minuit

Tandis que la jeune Elissa tournait son regard en ta direction, une brusque bourrasque de vent vint ouvrir les fenêtres, les bougies de la salle se mirent à vaciller et s'éteignirent en une fraction de seconde, ne te laissant le temps de comprendre ce qui venait de se produire. Vainement, tu cherchais ton époux du regard, mais ta conscience te rappela bien vite que l'obscurité ne te permettait pas de le retrouver dans une si profonde pénombre... Tu n'avais pas encore mesuré l'ampleur de ce que cet incident venait de déclencher, et tu sortis de ta torpeur lorsqu'une femme, ayant lâché son verre à terre qui se brisa dans un tintement cristallin, se mit à hurler. Le son de sa voix te glaça instantanément le sang, et tu revoyais défiler les images d'il y a dix ans... T’exhortant au calme, ta respiration se faisant cependant plus rapide, plus haletante. Où était ta mère? Et ton père? Est-ce qu'une fois encore il l'enfermerait pour mieux s'en prendre à la famille royale? Si ta mère ne craignait rien, il n'en était pas de même pour ton paternel et toi, et votre nature était connue de tous... Immobile, comme pétrifiée, tu ne compris pas que le foule autour de toi commençait à s'agiter, à se mouvoir comme une colonie de fourmi prenant peur, se laissant gagner par la crainte et l'effroi. Les premiers angoissés se mirent en marche, bousculant sans vergogne les personnes autour d'eux, créant une vague incertaine de corps se rencontrant, se percutant, cherchant de quel côté se trouvait la porte de sortie. Tu n'avais pas encore réalisé que l'ondulation de terreur arrivait jusqu'à toi, et tu finis par être atteinte, repoussée, bringuebalée, balancée, de part et d'autre jusqu'à tomber au sol, ton épaule heurtant ce que tu reconnus être un mur, et ta tête quelque chose de plus doux, de plus agréable. Te redressant tant bien que mal, tu réalisais que tu venais de te cogner dans une personne de chair et d'os. Soutenant ton épaule endolorie, te tentais péniblement de te redresser à sa hauteur. “ Pardon, je suis déso... ” Un nouveau cri se fit entendre, plus strident, plus perçant; comme un ultime appel à l'épouvante qu'allait délivrer cette soirée... Un profond frisson vint glisser le long de ton échine et ton cœur s'emballa. Est-ce que ton mari allait bien ? Est-ce que tes parents étaient encore ensemble ? Tu ne savais rien mais tu espérais et tu ne pouvais te permettre que cela à cet instant.

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Invité

Aiden a longuement réfléchi avant de prendre ce risque. Toute la journée, il a observé ce palais de loin, comme s'il n'avait pas encore décidé si le soir même il serait à l'intérieur ou non. Il faut dire que c'est la première fois que le sorcier y remet les pieds depuis qu'il a fui le lieu avec sa mère, lors de la première Purge. Il juge finalement qu'il n'y a pas de soir plus approprié que celui-ci pour faire son grand retour.

Alors il passe par les petits chemins. Ceux qui ne sont connus que par les domestiques et les malins. Il évite les soldats avec soin et malice, et il se glisse dans l'ombre jusqu'au bal. Après avoir revêtu son plus bel habit pour faire illusion, il n'a aucun mal à se rappeler les codes de la noblesse. Après tout, il a grandi en son sein.

Son jeu est parfait auprès de ceux qui ne le reconnaissent pas. Il s'amuse de la naïveté avec laquelle certaines têtes le saluent innocemment. Son cœur bat un peu plus fort lorsqu'il reconnait parfois un visage, mais sans rien laisser paraître, il s'éloigne avec une lenteur calculée.

Mais Aiden n'est pas ici par hasard. Lorsqu'il trouve refuge contre un mur froid, son regard sombre et prédateur parcourt la foule pour retrouver une trace de son père. Est-ce que ce fourbe sans honneur oserait se montrer ici ce soir ? Sa mâchoire se serre à cette pensée et la colère obscurcit ses traits. Il n'est pas certain qu'il parvienne à conserver son masque d'invité modèle s'il aperçoit ce traître de paternel dans la salle.

Son regard s'arrête soudainement sur un nouveau visage connu - des traits féminins qui ne lui inspirent aucune haine cependant. Cressida n'a pas encore croisé son regard. Il l'observe d'un air amusé, curieux de voir sa réaction lorsque la jeune femme verra qu'il a eu l'imprudence de se joindre à la fête.

Mais soudain, le sort décide qu'il n'est pas encore l'heure de réunir le père et le fils. L'obscurité tombe brutalement sur le palais tout entier, et Aiden lui-même est surpris par un tel retournement de situation. Qui a osé perturber cette soirée tranquille ? Qui d'autre que lui ? Furieux d'avoir été devancé, mais curieux de l'effet du petit tour réussi, le sorcier n'ose pas bouger et contemple un instant silencieusement la panique qui s'empare des invités.

Pourtant, au lieu de songer à la satisfaction du responsable, Aiden est traversé par un frisson glaçant. Cette scène le projette méchamment 10 ans en arrière, lorsque la panique de la purge a saisi le peuple. Guidé par une pulsion inquiète, il traverse donc la salle à l’aveuglette d’un pas rapide, tout droit vers le dernier endroit où il a aperçu Cressida – la seule personne ici capable de lui apporter peut-être un semblant de tranquillité. Il lui semble qu’il n’est plus très loin, alors il hausse la voix pour couvrir les bruits de la panique ambiante. « Cressida ? » Il plisse les yeux pour essayer vainement d’apercevoir quelque chose dans le noir. Au moment où il songe à faire appel à sa magie pour demander de l’aide au premier animal venu, quelqu’un surgit involontairement sur sa route. Il sursaute, croit à une attaque, et se jette en arrière pour s’apprêter à répliquer aussitôt.

Finalement, c’est une voix féminine et confuse qui répond à cette agression involontaire. Aiden n’a pas le temps de chercher à identifier la personne, qu’un cri fige les invités terrifiés. « Cressida ? C’est moi, Aiden ! » Le sorcier ne perd plus de temps à se poser des questions, tant pis s'il se trompe d'interlocutrice, il passera rapidement à la suivante jusqu'à trouver la bonne. Il doit remettre rapidement la main sur son amie, avant que la garde royale n’intervienne.

Invité

Bal de Minuit

« Ymir ? » Il semblait à Cressida avoir reconnu la voix de la cousine de la Princesse, mais, à peine avait-elle prononcé ce nom qu’elle entendit son propre prénom prononcé par une voix qu’elle n’avait pas entendu depuis longtemps mais qu’elle n’avait pas oublié pour autant. L’obscurité l’angoissait, mais elle gardait le contrôle d’elle-même, cherchant à tâtons son ami Aiden autant qu’elle cherchait un mur auquel s’adosser. Il y a trop de bruit pour qu’elle se fit uniquement à son ouïe pour se repérer. Elle trouvait agaçant que la panique gagne si facilement ses compatriotes et semblables alors qu’ils devenaient des proies bien plus faciles en faisant tout ce boucan, c’est bien pour ça qu’elle-même essayait de se montrer laconique. Elle finit toutefois par répondre à Aiden, ne sachant pas quoi faire d’autre pour le moment. « Aiden ? Je ne dois pas être très loin de toi, mais je n’ose pas bouger… qu’est-ce que tu fais là ? Tu sais ce qui se passe ? » Demanda-t-elle très vite mais sans crier, espérant qu’au son de sa voix, Aiden finirait par la trouver. Même s’ils ne s’étaient pas vus depuis de trop nombreuses années, une présence amie serait d’un grand réconfort dans ce vacarme…

Cressida ne pouvait – comme tous les autres sûrement – s’empêcher de penser à la Purge. Est-ce que ça recommençait ? Est-ce qu’elle allait de nouveau perdre quelqu’un de cher ? Est-ce que ses parents étaient en sécurité ? Elle n’avait pas envie de pleurer, loin de là, mais elle aurait voulu frapper dans quelque chose pour se défouler. Son esprit était clair mais elle manquait de données pour tirer des conclusions, et même si une part d’elle avait peur, elle ne voulait pas céder à la panique. Cela ne lui paraissait pas être une bonne solution… en fait, ça ne l’était jamais, car il fallait garder la tête froide pour survivre dans ce monde.

Elle continua à chercher un contact autour d’elle avec prudence, elle finit par toucher ce qui devait être un bras, elle descendit le long de celui-ci et sentit une main, chaude et réconfortante, bien qu’elle ne puisse pas affirmer à qui elle appartenait. « Qui est-ce ? » Demanda-t-elle dans un souffle, espérant que c’était Aiden ou bien Ymir puisqu’elle lui avait semblé proche aussi. En tout cas, n’importe qui sauf un ennemi ferait l’affaire : elle n’était pas en mesure de faire la difficile, sans arme et engoncée dans une robe de soirée.

{Robe de Cressida : https://i.pinimg.com/236x/e8/4f/48/e84f4872b04a3d7630a0e3e6a9d37e63--the-tudors-natalie-dormer.jpg }

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MESSAGES · Maître du Jeu suprême

★ Intervention du Destin ★

Après un long moment de panique dans le noir, à tenter de savoir ce qui s'était passé et à essayer de se repérer, on donna l'ordre à des domestiques de rallumer les bougies éteintes et d'allumer un feu dans la large cheminée, même si les températures étaient encore estivales à cette période de l'année. Bientôt, la salle de bal fut de nouveau éclairée, faiblement, mais éclairée quand même.

Quelques femmes s'étaient évanouies de peur et furent transportées à l'écart afin de se reposer et d'être examinées par le médecin de la Cour. La soirée fut rapidement écourtée et chacun rentra dans ses quartiers, déçu de n'avoir pu profiter complètement de la soirée. Il y eut donc plus de peur que de mal mais ce soir-là, la colère du premier ministre fut telle que tout le monde savait qu'il y aurait des conséquences bien plus graves...

LE SUJET EST TERMINÉ I love you

Merci à tous les participants !

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